Houssine Bouchama

Houssine Bouchama

Rédacteur en chef, Time Out Paris

Articles (178)

The 50 best things to do in Paris right now

The 50 best things to do in Paris right now

Let’s get one thing out of the way first: Paris is huge. Your to-do list might be eight pages long. And if you’re just here for the weekend, there’s no way you’ll be able to fit absolutely everything in (though God does love a trier, so they say).  But don’t panic. The team over at Time Out Paris know this city like the back of their hand, and that means they know the spots that are really worth your time (and dough). On this list, we’ve got everything from alternative tours of the Louvre to the best egg mayo in the city, and plenty of places to dance in between. Whatever you’re after, here are the best things to do in Paris right now.  RECOMMENDED:🥘 The best restaurants in Paris🏘️ Where to stay in Paris🏺 The best museums in Paris🏡 The best Airbnbs in Paris🎢 The best rides at Disneyland Paris This article was written by the editorial team at Time Out Paris. At Time Out, all of our travel guides are written by local writers who know their cities inside out. For more about how we curate, see our editorial guidelines.

Les 50 meilleurs restaurants de Paris

Les 50 meilleurs restaurants de Paris

Et voilà ce moment rituel de l’année où Time Out ose prendre parti pour défendre ses adresses préférées. Et comme on sait que certains reprochent aux classements de restaurants de privilégier les tables multi-étoilées, carénées pour les imposables du dernier décile, par rapport aux restos de quartier, on précise que dans notre top 50, le premier prix s'affiche à 12 € le midi ! Vous y croiserez plus de bistrots que de palaces, plus de zinc que de velours et des menus voyageurs qui vous évitent de vous ruiner en avion. Ce top est-il un florilège hautement subjectif ? Affirmatif, mais qui tente de traduire au mieux cette rencontre miraculeuse du kif gustatif, de la douceur de l’ambiance et de la joie d’être là. Au plaisir de vous croiser à l’une de ces tables ! Pour encore plus de bons plans, inscrivez-vous à la newsletter de Time Out Paris.

Les meilleurs restaurants dans le Marais

Les meilleurs restaurants dans le Marais

A cheval sur le 3e et le 4e arrondissement, le Marais, avec ses rues étroites et ses immeubles biscornus, revient de loin. En 1960, ce quartier de petits artisans installés dans les cours et les hôtels particuliers délaissés par la noblesse depuis le XVIIIe siècle risque une rénovation à coups de pelleteuses. Il se retrouve classé et sauvé par une loi du ministre de la Culture, André Malraux. Le Marais est alors un coin popu qui accueille Ashkénazes ayant fui les pogroms et ouvriers chinois de Wenzhou. L’installation de la communauté LGBT autour de la rue Sainte-Croix-de-la-Bretonnerie à partir des années 1980 marque aussi le début de l’embourgeoisement et le déferlement des adresses hype et des galeries d’art. Cette histoire riche se reflète dans l’offre des tables du quartier : bistrot à l’ancienne, spécialités juives, cantines asiatiques… Un concentré de Paris entre hype, art et musées.

Les meilleurs restaurants de fruits de mer et poissons à Paris

Les meilleurs restaurants de fruits de mer et poissons à Paris

En attendant que la calotte du Groenland ne fonde complètement et ne fasse monter les eaux de plusieurs mètres, Paris se trouve encore loin du bord de mer. Pas grave, la capitale a toujours su faire venir les meilleurs fruits de mer et les poissons les plus frais, accompagnés d’ingrédients ultra-fins, à déguster bruts dans une cambuse ou travaillés par les meilleur(e)s dans des adresses à nappe blanche. Enfilez votre marinière, on part en croisière pour écumer les meilleures adresses où savourer coquillages, poiscaille et crustacés.

Les meilleurs restaurants japonais de Paris

Les meilleurs restaurants japonais de Paris

En quelques années, l’offre de la cuisine japonaise s’est développée comme le tour de taille d’un élève sumo. Des sushis bien sûr, mais aussi des ramens fumants, des gyozas, du poulet karaage, des bentos nappés de tonkatsu, des menus omakase… Jamais les échanges culinaires entre la France et le Japon n’ont été aussi intenses ! Il y en a pour tous les budgets : de l’adresse de rupin jusqu’à la pause déj pour salaryman pressé, découvrez notre guide ultime des meilleurs restaurants japonais de Paris mettant à l'honneur tous les visages de cette gastronomie singulière et délicate. Et comme on dit là-bas : Itadakimasu ! (Bon appétit !) Pour encore plus de bons plans, inscrivez-vous à la newsletter de Time Out Paris.

Les meilleurs sushis et makis de Paris

Les meilleurs sushis et makis de Paris

Peu de spécialités ont connu une telle explosion de popularité. En trente ans, le nombre de restaurants proposant des sushis à la carte a explosé. La France est même devenue le plus grand consommateur de sushis d’Europe ! Désormais, on trouve sushis et makis sous plastique au supermarché, dans des adresses qui font aussi pizzas et burgers. Fatalement, des restaurateurs opportunistes s’improvisent shokunin et proposent des nigiri flasques où un mince film de poisson recouvre à peine une boule de billard de riz froid. Le sushi, un plat de luxe Au Japon, le sushi, inventé au XIXe siècle mais dérivé d’une technique asiatique ancestrale, est un mets sophistiqué où la technique du cuisinier, acquise après des années d’apprentissage, ne sert qu’à magnifier la qualité du produit. Alors, où manger les meilleurs sushis et makis de Paris ? Nous vous proposons nos adresses les plus authentiques de la ville, où la fraîcheur et la qualité du poisson ou des fruits de mer ne font aucun doute, mais aussi où le riz est servi à la bonne température et où la découpe est d’une précision chirurgicale. Attention, tout cela a un prix : un bon restaurant de sushis n’est jamais bon marché !

50 œuvres d'art incontournables à Paris

50 œuvres d'art incontournables à Paris

On ne compte plus les expositions que tout Paris a vues, que tout le monde a vues, qu'il faut avoir vues. Au risque, parfois, d'occulter les autres trésors que renferment les musées parisiens, notamment au sein de leurs collections permanentes. Time Out Paris a voulu se pencher sur ces œuvres, toujours fidèles au poste, qui s'exposent du matin au soir au Louvre, à Orsay, au Centre Pompidou ou au Quai Branly, mais aussi dans des lieux moins connus. En choisissant 50 pièces (avec parfois l'aide précieuse de conservateurs), le but n'était pas d'être exhaustif, ni de cataloguer les chefs-d'œuvre les plus célèbres de la capitale. D'ailleurs, au fil de cette expédition artistique, nous n'avons croisé ni La Joconde, ni La Victoire de Samothrace, ni La Dame à la Licorne, dont il nous paraissait presque superflu de souligner l'écrasante célébrité. Et puis l'exercice l'ordonnait : il a fallu faire des choix, guidés par la curiosité qui nous a parfois poussés à aller chercher l'inattendu, l'improbable, l'oublié.Si nous avons essayé de nous limiter à des œuvres qui restent constamment présentes dans les collections parisiennes, difficile de le garantir : l'une aura pu être prêtée à un musée à l'autre bout du monde, tandis qu'une autre sera peut-être partie se refaire une beauté dans le labo d'un restaurateur.Bref, tout cela est parti d'une envie très simple : faire découvrir ou redécouvrir des œuvres qui se distinguent par leur composition, leur beauté, leur étrangeté ou le contexte dans

Les meilleures terrasses cachées de Paris

Les meilleures terrasses cachées de Paris

Le Parisien aime bien les secrets. Mais où aller boire un verre loin de l’asphalte quand il fait trop chaud pour s’enfermer dans un speakeasy sans fenêtre et que le cagnard tape trop fort sur un rooftop ? Se réfugier sur une terrasse cachée, bien sûr ! Mais encore faut-il connaître ces lieux insoupçonnables depuis la rue. Voilà donc notre sélection de cours privées et de jardins tapis derrière des façades pour se poser loin de la circulation, des particules fines et des grosses foules et profiter du kiff de se sentir loin de tout. Comme disait l'autre : luxe, calme et verres planqués.

The 13 best restaurants in Lyon

The 13 best restaurants in Lyon

Often dubbed the gastronomic capital of France – and sometimes even of the world – Lyon and its residents are no strangers to good food. It plays host to no fewer than 18 Michelin-starred restaurants, and as if that weren’t enough, Lyon is world-renowned for its regional produce: chicken from Bresse, Charolais beef, unctuous cream and butter so rich you could weep into it. But there’s far more to Lyon’s restaurant scene than belt-busting traditional feasts. From global fusion dishes spotlighting local seasonal vegetables to Sino-Indian Mamak street food, bouchons serving quenelles and baba au rhum to entire menus based around duck, here’s our round-up of the best restaurants in Lyon. There’s no better place to say bon appetit. RECOMMENDED: 📍 The best things to do in Lyon This guide was updated in May 2024 by Anna Richards, a writer based in Lyon. At Time Out, all of our travel guides are written by local writers who know their cities inside out. For more about how we curate, see our editorial guidelines. This guide includes affiliate links, which have no influence on our editorial content. For more information, see our affiliate guidelines. 

Les meilleures terrasses de Paris où se régaler

Les meilleures terrasses de Paris où se régaler

Existe-t-il quelque chose de plus agréable que de bien manger à Paris ? Oui : bien manger en terrasse à Paris ! Selon un théorème qu’on n’explique pas, les assiettes ont toujours meilleur goût quand on les déguste avec une paire de lunettes de soleil sur le nez, des glaçons dans les verres et qu’on ne peut pas lire l’heure à cause des reflets. Dans cette sélection, on a réuni les terrasses parisiennes les plus agréables de nos restaurants favoris, des parenthèses où se poser pour se régaler, à la fraîche, décontractés des papilles. Si vous voulez prendre de la hauteur, zieutez notre guide des rooftops.

Incontournables à Marseille : 50 plans à faire au moins une fois

Incontournables à Marseille : 50 plans à faire au moins une fois

Galeries d’art, restos branchés, plages confidentielles… Dans ce dossier plus costaud que la cuisse de Taye Taiwo, Time Out vous distille les meilleures choses à faire en ville, tous genres confondus. Pour pondre cette sélection tapin large (50 plans !), nous avons quadrillé tout Marseille, des calanques à l’Estaque, pour en extraire la crème de la crème. Guitounes à pizza, clubs underground, terrasses les pieds dans l’eau… De quoi se payer une bonne tranche de vie phocéenne !

Les meilleures pizzas de Paris

Les meilleures pizzas de Paris

La ligne de croûte est étroite entre une vraie bonne pizza et un modèle mezzo bof. Notre religion pour cette icone de la street food italienne : une pâte fine, délice oxymorique de moelleux et de croustillance, avec le bon goût du levain mais des cornicione (des bords) pas trop épais (on n’est pas venu manger du pain, OK ?). Pour la garniture, on privilégie évidemment des produits dûment sourcés et de la sauce tomate maison. Et rappelez-vous que pour juger la qualité d’un pizzaïolo, il faut obligatoirement goûter sa margherita. Qu’elles proposent des pizzas classiques (circulaires), pliées en chausson (calzone), en quatre (a portafoglio), roulées (rotolò) ou à la part (al taglio), voici notre sélection 2024 des meilleures pizzerias de Paris !

Listings and reviews (81)

Dutch artists in Paris (1789-1914)

Dutch artists in Paris (1789-1914)

5 out of 5 stars

After the Petit Palais' last marvellous exhibition, it's pulled out all the stops for a truly five-star experience. The theme? Paris. The line-up? It’s Franco-Batavian and seriously impressive: over 115 works by Van Gogh, Mondrian, Scheffer, Van Dongen, Millet and Cezanne, to name but a few. This rich chronological 19th-century collection makes the links between freshly arrived Dutch artists and the Parisian masters.  Paris, a city where all is possible, transformed the conservative and out-dated attitudes of the Dutch artists and rather than carrying on the tradition of their elders, they set a great artistic revolution in motion. Take Van Gogh for example, who painted the Butte Montmartre in a pointillist style at the end of the 19th century, or Mondrian, who plunged himself into his own interpretation of cubism. This is a mesmerising deep-dive into the Pigalle of yesteryear.

The Art of Pastel: from Degas to Redon

The Art of Pastel: from Degas to Redon

5 out of 5 stars

An exhibition dedicated entirely to pastels is rare – partly because they are so difficult to preserve and so often stay hidden away in museum archives. But the Petit Palais is an exception, presenting 130 works from pastel’s second Golden Age, around the nineteenth century. Take a journey through symbolism, impressionism and realism and leave in awe of the depth and light of this difficult medium. The selection of artists is impressive: Redon, Renoir, Degas, Gauguin, Morisot, to name but a few. It’s a feast for the senses – Degas (the undisputed king of pastel) juxtaposes colours and figures, but go up close and it’s an abstract wonder. Redon, another great, is proof that the less detail added, the more the viewer is free to embellish the image with their imagination. Each work is unmissable.

Le Renard Bar

Le Renard Bar

4 out of 5 stars

What should I drink? A Zorro with mezcal, pear syrup, lime and bitter vanilla. After bringing cheap cocktails to rue de Paradis with L’Ours Bar, business partners (and friends) Enguerrand and Victor are back with a trendy little brother. Sticking to the wild animal theme, Le Renard the same concept: the decor includes eye-catching wallpaper and the atmosphere is effortlessly cool, with a hip-hop-electro backing track. The cocktails are especially lip-smacking; like the excellent Jardin Anglais (gin, cucumber juice and syrup and lime), but the signature blends really stole our hearts. Like the refreshing Zorro with mezcal, pear syrup, lime and bitter vanilla. Prices are reasonable for the area too and the 6-9pm happy hour promises drinks at €6. If you’re peckish, there are well-sourced products like smoked buffalo mozzarella and hummus. Le Renard has really outfoxed us.

Mulko

Mulko

4 out of 5 stars

Who’s it for? A sucker for a Lebanese sandwich. What should I order? The pulled veal sandwich: soft homemade bread, fried onions and unbeatably tender meat. How much? €2 for homemade lemonade, €10-12 for sandwiches, €3-4 for sides and desserts for €5. This new Mediterranean spot is led by Pierre Bouko Levy (ex-Miznon) and Cyril Dedieu (ex-Bügelski) who are delivering big flavours to the 10th arrondissement. With a backdrop of distressed brick walls, a tiled bar, olive green velvet upholstery and an Israeli groove soundtrack, the menu comes straight from the street food of Jaffa’s suburbs. Choose from kebabs, eye-popping meorav (Jerusalem mixed grill), shawarma mackerel or lamb – served either in a sandwich or with sides. The pulled veal sandwich (€12) included soft, homemade bread, fragrant fried onions and beautifully tender meat. Sides are a must: think golden cauliflower (€4) and tahini and zhug (a creamy sesame dip with spicy garlic sauce). Finish things off with kanafeh, cream cheese in shredded filo pastry, drenched in syrup. The service is always with a smile. Here, the customer isn’t just king, he is the grand emperor.

Danico

Danico

5 out of 5 stars

What should I drink? A Kota Ternate. Hidden behind the temple to pizza that is Daroco is Danico, a trendy Brooklyn-style bar complete with high ceilings, green velvet armchairs, black and white striped marble bar and eighties soundtrack. The mixology team, led by Nico de Soto (formerly of Experimental Club, but with training at New York’s Mace too), pushes the boundaries of cocktails as we know them. From matcha to marshmallow to bacon, this menu will leave you totally baffled – and delighted. Each cocktail we try packs a serious assault on the taste buds: a super blend of mezcal, celery seed and dry sherry with a strong barbecue flavour, then another with cognac, hazelnut butter, hay, chamomile and sparkling champagne completely bowls us over. Not for the faint-hearted drinker.  

ERH Restaurant

ERH Restaurant

5 out of 5 stars

Who’s it for? Sake aficionados.  What should I order? Sakura-smoked foie gras on toasted brioche with caramelised mango and balsamic vinegar reduction. Right in the middle of Maison du Saké, ERH is a 500m2 former spa redecorated as a luxurious modern loft space under a gorgeous glass roof. The French-Japanese menu is designed by Keita Kitamura, trained at Pierre Gagnaire and Narisawa, the Tokyo establishment often named among the world's best restaurants. Gaze at the dizzying collection of sake bottles and take a peek at the chef showing off his (alarmingly good) Japanese knife skills. The tasting menu is €65, including seven generous and unique courses. Sakura-smoked foie gras (that’s Japanese cherry wood) was paired perfectly with toasted brioche, caramelised mango and a balsamic vinegar reduction, while hay-smoked mullet and grilled mackerel came with a refreshing melange of beans and cucumber. What followed was just as surprising: iced milk with fourme d’Ambert cheese and poached figs. The tasting menu includes white wine or sake, with special mention going to the latter: fruity, fizzy or rustic sake, which lifts each dish up to true art.

Fulgurances, en face

Fulgurances, en face

4 out of 5 stars

The ritual is well rehearsed: every 6 months or so a consort of journalists are invited to have a tipple from the Fulgurances wine cellar - we feel like teenage pop star groupies.  Continuing the high spirits, we appreciate that this bar is much like its big brother: a nonchalant and understated cool vibe, decorated with wood, wood and more wood and of course some pretty flowers. The gluttonous wine train goes on, as behind the counter is the resident wine conoissseur. We dive in on the primitivo and before you know you've ordered 2 bottles. Not to mention the delicate bourgogne from the young Fanny Saber vineyard.  With suitable food to line your stomach such as the Becky's mayo eggs with fried leeks and squash seeds, or tomato salsa marinated squid or even the sausage, pickles and mustard brioche . This dig certainly has the tastes and the vibe to match - you'll crash back down to earth on the metro home. 

Cot Cot

Cot Cot

3 out of 5 stars

For who? Afficionados of fried chicken and American rapWhat's on the menu? Chicken, naturally. A stone's throw from the Sacré-Cœur lies Cot Cot. This new restaurant serves up a magical combination rather unknown to Paris: fried chicken, and hip hop.  The restaurant was packed to the rafters, and as the house special sandwich wasn't available that day, we tried the long bun special (fluffy bun, chicken, aubergine purée, yoghurt with mint and cucumber). After four morsels of marianted chicken, crunchy and tasty without being greasy, were served - conversation was cut in half. Part of the €12 meal formula, our meal come with fried sweet potato chips and a can of Dr. Pepper (to really keep it old school).With its simple wooden tables lining the walls, and an assortment of Supreme sticker, the deco is a definite nod to Brooklyn cool. It's like a hipster KFC, but at least three times better. 

Toraya

Toraya

4 out of 5 stars

For who? Those mad about matcha. What to order? Everything based with matcha. EVERYTHING. Forget everything you know about matcha. Forget all the other Japanese matcha restaurants - Toraya is king of them all. Considering the location in Concorde, prices are naturally going to be a fair bit more, but this shouldn't hold you back as this traditional tea salon is nothing but a dream.  If you're feeling hungry have a crack at the lunch deal (€31.20) served by a flotilla of smiling waiters. This 4-part meal is best shared between friends - there are two dishes, with or without matcha: an avokani (a bowl of rice perfumed with white sesame and ginger, seaweed, crab, avocado, fish eggs and citrus vinaigrette) accompanied by a fragrant steamed egg casserole; and a matcha soba (salad with buckwheat pasta, matcha green tea, tofu, shrimp, seaweed, cherry tomatoes and buckwheat seeds).  The puddings are an explosion of colour: refreshing matcha yokan with its scrumptious cane syrup and grilled soybeans. To continue the green theme try their teas. Whether you chose the iced matcha or not, you'll feel suitably zen with the matching decor.

Pink Mamma

Pink Mamma

4 out of 5 stars

For who? Meat lovers and Italian cuisine aficionados  What to order? The mega 800g T-Bone steak and a few cocktails on the side The sixth episode of the love story continues: after the roaring successes of Ober Mamma, East Mamma, Mamma Primi, Victor Lugger and Tigrane Seydoux - the two shrewd owners - have now launched Pink Mamma, the latest address in south Pigalle. The recipe? Always the same: a bustling queue of eager fans anticipating freshly sourced ingredients imported directly from Italy and waiters as authentic as any you'll find in Rome.The new stuff? There are two things which really stand out. First of all the place: the massive 4-floored building, each level with its own identity from the street level to the rooftops. We strongly advise you to check out the speakeasy-esque basement, where you can sip on high octane Italian cocktails; or check out the very top floor, a glasshouse bathed in a green light and sprawling ivy.  The second is the menu. Dishes are as lively as ever, and filled with the usual ingredients - superb truffle pasta with mascarpone (€18), or the bolognaise with crazy-good meatballs (€14), and of course, burrata a-go-go. However it's the meat that really wins here. The T-Bone Fiorentina steak (€24) is cooked on the grill, matured for at least 30 days beforehand, and therefore, ultra tender, albeit a bit salty. Thankfully the ample wine and sexy cocktail list help everything slide down nicely. Another sure-fire hit. 

Le Bar des Prés

Le Bar des Prés

4 out of 5 stars

What should I order? California rolls with salmon, avocado, jalapeno and sriracha. Cyril Lignac is now a household name and his Parisian restaurant empire is ever growing. Distressed brickwork, wicker lamps and patterned banquettes at Le Bar des Pres are all within his remit, but it’s the Japanese elements at Le Bar des Près which diverge from his usual style. Keeping one eye on the bartender and one eye on the kitchen with a seat at the marble bar, grab a California roll with salmon, avocado, jalapeno and sriracha (€25), before moving onto a crispy galette with madras curry, avocado and lemon (€19).   Cocktails are super refreshing, like the péché mignon with mint, peach puree, elderflower cordial and ginger ale (€10). Dessert is profiteroles with yuzu cream and Brittany strawberries (€12). Extravagant and on point. Bravo Cyril.

Boulangerie Eugène

Boulangerie Eugène

If you have to follow a diabetic regime, there are certain things that you have to give up. French pastries are a good example. Cake with whipped cream, drenched in sugar, is a nightmare for those people who dearly miss these yummy treats. However, they can now rejoice, as a boulangerie in the 17th arrondissement has declared a war against sugar. That's right - sugar-free whilst keeping the same-heralded taste. We give you Eugène. Cristophe Touchet (a diabetic himself) and Luc Baudin, his associate, are your savours. The two partners in crime are making brioches, pastries and other sandwiches which won't blow your sugar count, as they are made with 50% less sugar and 30% less saturated fats, as well as up to 70% high fibre intake. All of the recipes were developed under the guidance of both a doctor and nutritionist.  They use lentil flour and chick pea flour for pastry and agave syrup to replace sugar. This features in a huge selection of goods, like tarte au citron with white chocolate and light cream (€3.60) , vanilla, praline, coconut or pecan éclairs, praline (€3.90) and Goji berries to replace the traditional pain aux raisins (€1.30). Not to mention a range of delicious chocolates. In short, its healthy and yummy. Go with your eyes closed, and mouth wide open, and see what happens!

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Le chef Paul Pairet ouvre son premier resto à Paris !

Le chef Paul Pairet ouvre son premier resto à Paris !

Vous êtes fan de Paul Pairet ? Préparez-vous à faire l'avion ! Le célèbre chef à casquette découvert par le grand public dans l’émission Top Chef s’apprête à prendre les commandes de son tout premier resto parisien. Après avoir marabouté les cuisines de plusieurs établissements shanghaïens – dont Ultraviolet, son gastro triplement étoilé au guide du pneu –, le gaillard va atterrir du côté de l’hôtel Crillon, clinquant Moulinsart du 8e arrondissement. « Je suis extrêmement fier et heureux de rejoindre ce palace emblématique. Il est pour moi la référence à Paris et en France », s’est enflammé le chef babillard via un communiqué de presse. « Surtout, je suis très excité de revenir en France pour pouvoir partager ma cuisine la plus essentielle. C’est un nouveau challenge qui s’offre à moi et je souhaite le relever avec brio avec les équipes de l’hôtel. » Dans les faits, Paul Pairet aura pour mission de réussir une épreuve pas si évidente que ça : dynamiter la Brasserie d’Aumont, établissement qu’on avait trouvé un peu plan-plan et (très) chérot lors de notre passage. Pour ce faire, l’homme aux manchettes violettes a promis auprès du site Atabula de faire « de l’ordinaire extraordinaire ». A voir si la dimension « expérientielle » si chère au chef va devenir une modalité majeure de ce resto. Réponse en deuxième partie d'année. Où ? 10 place de la Concorde, Paris 8eQuand ? Ouverture prévue en seconde moitié de 2022.

Philippe Conticini lance son premier « bar à mille-feuilles » à Paris !

Philippe Conticini lance son premier « bar à mille-feuilles » à Paris !

OH. MON. DIEU. Les amateurs de délices sucrées et les fadas de l'icône de la pâtisserie Philippe Conticini peuvent enterrer leur régime et crier de joie : le toqué star vient d’annoncer le lancement de son tout premier bar à mille-feuilles dans la capitale ! Le lieu ? Il est déjà bien connu des Parigots puisqu’il s’agit de sa boutique du Marais, inaugurée en décembre 2020, qui rejoue à la sauce Conticini les classiques du genre : paris-brest, tarte saint-honoré, Cirrus (aux agrumes et CBD), mais aussi pains et viennoiseries (baguette de tradition au levain, brioche chocolatée, tourte au seigle…) C'est donc dans cet espace signé du duo de designers Sapide que le bonhomme va installer son bar à mille-feuilles à la française. Soit un comptoir où commander un mille-feuille découpé minute sous vos yeux, et dont vous pouvez choisir vous-même la composition : crème diplomate à la vanille Bourbon de Madagascar, caramel au beurre salé, caramel exotique (passion, mangue, ananas), praliné 69 %… Des p'tites bombes visuelles et sans doute bien caloriques (mais on s'en fout). Côté pratique, ce mille-feuille – franchement pas donné (9,60 €) – est à retrouver tous les deuxièmes et quatrièmes samedis du mois dans ladite boutique (en gros, un samedi sur deux). Si on ne l’a pas encore goûté, sachez qu'il s'agit d’un des grands classiques du chef – il le servait déjà chez Gâteaux d'émotions. Un conseil néanmoins : pour éviter la queue, n’arrivez pas trop tard ! Où ? 31 rue Notre-Dame-de-Nazareth

Au musée du Luxembourg, la plus grande rétrospective française consacrée à Vivian Maier

Au musée du Luxembourg, la plus grande rétrospective française consacrée à Vivian Maier

Si la rentrée est définitivement arrivée, trimballant dans sa besace son lot de stress, de spleen et de mauvaise humeur, le remède est tout trouvé pour voir la vie en rose : une bonne dose d'art. Et de l'art, il va en pleuvoir dans les galeries et musées parisiens. Parmi eux ? La photographe Vivian Maier, programmée à partir du 15 septembre prochain du côté du musée du Luxembourg, pour ce qui s’annonce comme la plus grande rétrospective parisienne de l’artiste ! Vivian Maier ? De mère française, mais ayant principalement vécu à New York et Chicago, Vivian Maier réalisa au cours de sa vie plus de 120 000 photographies, munie d’un Rolleiflex ou d’un Leica. Mais la photographe n’a jamais cherché à se faire connaître, préférant travailler dans l’anonymat, gagnant sa croûte en gardant des enfants, et ne pouvant développer la majeure partie de ses négatifs par manque d’argent. La suite ? Elle s’est éteinte paisiblement en 2009, sans avoir jamais vu le résultat de son travail, pourtant aujourd’hui considéré comme majeur dans l’histoire de la street photography. Portraits de marginaux, scènes de vie urbaine, clichés de l’Amérique des années 1960… Les argentiques de Vivian Maier sont bluffants de réalisme et de modernité ! Son travail témoigne également une grande finesse d’observation et un regard humaniste sur ses contemporains, toujours photographiés sur le vif. Surtout, par sa capacité à immortaliser l’effervescence et l’atmosphère de son époque et par la modernité de ses autoport

La Suite Girafe : le nouveau rooftop (très) classe du 16e arrondissement

La Suite Girafe : le nouveau rooftop (très) classe du 16e arrondissement

Après nous en avoir foutu plein les yeux avec le resto Girafe, le monstre à deux têtes Laurent de Gourcuff et Benjamin Cassan voit double et ouvre La Suite Girafe : une terrasse confidentielle et ultra VIP de 100 couverts, planquée au neuvième étage de la Cité de l’Architecture et du Patrimoine. Au programme : une déco sapée par le fashion designer Joseph Dirand, avec maxi-terrasse à nappes blanches et vue de maboul (la plus belle du monde ?) sur la tour Eiffel ! Idéal pour faire sa demande en mariage. Et dans l’assiette, chéro mais pas radine ? Plateaux de fruits de mer, poissons crus, plats marins et une douzaine de desserts qui font TOUS envie. Attention, le lieu est très prisé. Lors de notre dernier passage, on y a croisé un certain Kylian Mbappé. Quand ? Tous les jours, de midi à 14h30, et de 19h à 23h.Où ? 1 place du Trocadéro, Paris 16e.Plus d'infos.

Un bar à cocktail s'installe sur le toit de l'Hôtel Rochechouart (Montmartre)

Un bar à cocktail s'installe sur le toit de l'Hôtel Rochechouart (Montmartre)

Parmi les rooftops immanquables de cette saison printemps/été 2021, il y a le bar perché de l'hôtel Rochechouart. L’ancien Carlton’s, fréquenté un temps par Maurice Chevalier, planque une terrasse au neuvième étage. Au programme : une vue de maboul sur le Sacré-Cœur, avec tables en fer forgé et banquettes cosy. Et dans les verres, des cocktails chantournés par une team de mixologues qui servira sept jours sur sept jusqu’au couvre-feu de quoi vous rincer la glotte. Pssst : à noter en bonus de la finger food, des grillades au déj le week-end et la possibilité de privatiser le lieu, pour tapasser en bande.  La chronique du lieu est à lire bientôt sur Time Out Paris.Où ? 55 boulevard de Rochechouart, Paris 9eQuand ? Dès le 19 mai 2021Pour privatiser le lieu !

Pour célébrer la réouverture des terrasses, Time Out et Nova présentent “Foutez-nous dehors”

Pour célébrer la réouverture des terrasses, Time Out et Nova présentent “Foutez-nous dehors”

Alléluia ! Après des mois de torpeur à pantoufler dans notre 32 mètres carrés, c’est désormais officiel : on va pouvoir squatter les terrasses et retrouver un semblant de vie normale. Histoire de célébrer l’événement, Time Out et Radio Nova joignent leurs forces pour vous mitonner un programme exceptionnel à même le bitume. Le 19 mai, ton magazine et ta radio préférés fêtent ensemble le déconfinement en installant leurs studios sur deux terrasses emblématiques de Paname : le Pavillon des Canaux (19e) et Moncœur Belleville (20e). Pour l’occasion, la bande de Nova bouscule sa grille et invite la rédaction de Time Out Paris à prendre ses aises au micro et en comité de rédaction. C’est ainsi que, dès potron-minet, pour l'émission Un Nova jour se lève, Armel Hemme et Sarah-Lou Bakouche accueilleront une partie de la team Time Out pour parler restaurants, monde d’après et bons plans printaniers. Entre 9h et 13h, pour le show Alpha Beta Nova de Sophie Marchand, les amis des deux médias auront l’honneur de vous partager leurs morceaux préférés pour symboliser ce retour des beaux jours (façon de parler, hein). Toujours pas rassasié ? Jeanne Lacaille et son Nova Lova vous feront bourlinguer en musique et en poésie dans les rues de Belleville avec un antidote anti-spleen façon terrassothérapie. On termine avec Marie Bonnisseau, qui ambiancera cette fin de journée dans Super Nova avec des chorés, des toasts et des playlists à boire… En bref, un beau programme fignolé main dans la main su

David Hockney s’installe au Musée de l'Orangerie le temps d’une expo

David Hockney s’installe au Musée de l'Orangerie le temps d’une expo

Scoop ! Alors que le Centre Pompidou lui consacrait une énorme exposition en 2017, sur fond de couleurs explosives et de maxi-toiles de piscines, le maître de la peinture british David Hockney s’expose cette fois-ci au Musée de l’Orangerie. Et célèbre sa nouvelle terre d’accueil : la Normandie. Du 13 octobre 2021 au 14 février 2022, l’artiste et ses 83 balais présentera A Year in Normandie, une compilation de ses derniers travaux chantournés dans l’ouest de la France. Présentée dans la grande galerie du musée de l’Orangerie, l’expo A Year in Normandie vous offrira la possibilité de zieuter une longue frise de 80 mètres de long, nous rappelant les mythiques Nymphéas de Claude Monet, également hébergées dans le même musée. Si on n’en sait pour l’instant pas beaucoup plus sur l’expo, ses derniers travaux dans le Pays d’Auge laissent augurer quelques pistes (très) prometteuses… Et terriblement proustiennes : l’artiste, qui a installé son atelier dans une grange pendant le confinement, a bossé (à l’Ipad !) sur le passage du temps et l’arrivée des quatre saisons, peints comme un long et magnifique récit.  Avec notamment, comme aperçu à la galerie Lelong il y a quelques mois, de magnifiques œuvres retraçant l’arrivée du printemps et de l’été : des pommiers et poiriers du jardin, des maisons à colombage, des villages typiques de la région… Le tout faisant superbement écho aux artistes hollandais Rembrandt et Van Gogh, entre jeu de lumières et quiétude de la nature - honnêtement, c’es

Dumbo s’installe sur le parvis du Palais de Tokyo et du Musée d’Art Moderne

Dumbo s’installe sur le parvis du Palais de Tokyo et du Musée d’Art Moderne

Dites moi pas qu'c'est pas vrai ! Après avoir annoncé un ice-cream sandwich, Dumbo continue d'alimenter les colonnes de Time Out avec une actu qui risque de mettre en PLS tous les amateurs de burgers. Selon les ouï-dire, le minus spot indus va lancer le 19 mai “Dumbo Park”, sa version seiziémiste du concept originel. Sur invitation du Moma Group, Dumbo pose ainsi ses cliques et ses buns sur le giga parvis (300 mètres carrés) du Musée d’Art Moderne de Paris et du Palais de Tokyo... De quoi s’enfiler le le Graal avec une vue imprenable sur la Tour Eiffel ! Côté déco, le lieu, qui ouvrira tous les jours de 11h30 à 1h mat’ (enfin, quand le couvre-feu sera fini), se veut comme “une rencontre entre Pigalle, le Trocadéro et la Colline de Chaillot” avec : des assises (inspirées des tabourets et cagettes de Dumbo Pigalle) qui côtoient ici une structure tout en bois et meubles chinés.  Côté food, sans trop de surprise, les mêmes burgers qu’à SoPi seront à la carte  — les fameux smash burger, soit de juteux steaks de montbéliarde aplatis à la pelle, pour faire ressortir tout leur goût. Notre préf’ ? Le classic Cheese, avec double ration de fromage ricain et salsa ketchup-moutarde. Auquel il faudra aussi ajouter une offre veggie et la fameuse collab' givrée annoncée plus haut.  Pour se rincer le palais ? Des vins nat’, des bières et même des cocktails granités à tendance mexicaine (au mezcal et à la tequila). Bon bah, comment dire ? Il semblerait bien que Time Out ait trouvé son spot pou

Expo blockbuster : Magritte et Renoir débarquent au musée de l'Orangerie en mai

Expo blockbuster : Magritte et Renoir débarquent au musée de l'Orangerie en mai

ALERTE GENERALE ! Le musée de l’Orangerie frappe fort en invitant en son sein le grand - que dis-je - l’immense René Magritte, pour l’une des expos blockbusters de l’année 2021. Du 19 mai au 19 juillet, le musée (qui accueillait des soirées Time Out en période pré-Covid) met un coup de projo sur le peintre, figure emblématique du surréalisme belge, qui a marqué le mouvement aux côtés de Salvador Dalí, Giorgio de Chirico ou Max Ernst. Mais pour le coup, l’Orangerie a opté pour un angle très particulier et assez méconnu : sa période "Renoir" (1940-1947), et va même jusqu'à confronter les œuvres de Magritte à celles d’Auguste Renoir qui l’ont inspiré. Autant dire que, contrairement à l’expo au Centre Pompidou en 2016, vous ne verrez pas les œuvres les plus famous de l’artiste, à l’instar du Fils de l’Homme - ce petit tableau (116 x 89 cm seulement), maintes fois copié par la publicité mais jamais égalé. A la place ? (Re)découvrez plutôt des tableaux et dessins plus confidentiels, de style « solaire », illustrant notamment Sade, G. Bataille, Éluard ou Lautréamont. Des créations qui tranchent pas mal avec le contexte de l’époque (la Seconde Guerre mondiale). Mais Magritte, prophétique, est convaincu que la défaite de l’armée allemande à Stalingrad va marquer la fin du conflit et le retour des jours heureux. Il écrira d’ailleurs, en 1941, à Paul Éluard : « Le beau côté de la vie serait le domaine que j’explorerais. J’entends par là tout l’attirail traditionnel des choses charmantes

A la Gaîté lyrique, la musique électronique fait de la résistance

A la Gaîté lyrique, la musique électronique fait de la résistance

Si les dernières restrictions ont obligé bon nombre de lieux à baisser le rideau, pour les clubs, rien de neuf à l’horizon. Pour eux, la situation est la même depuis… le 14 mars 2020. A savoir : des platines qui prennent la poussière, des pistes de danse qui se languissent et des enceintes plongées dans un mutisme inquiétant. C’est dans ce contexte de nuit asphyxiée que la Gaîté lyrique, épicentre des arts numériques à Paris, a décidé de mettre un coup de projo sur le milieu de la musique électronique, en dévoilant un maousse programme virtuel qui fait du bien aux oreilles. Son p’tit nom ? Culture Club. Son ambition ? « Montrer qu’on ne baisse pas les bras pendant cette crise et continuer de proposer des événements musicaux au public malgré le contexte », explique Brice Coudert, fondateur de feu Concrete, aujourd’hui à la tête de l’agence Underscope et programmateur de l’évènement. « Et puis c’est important de faire jouer des artistes, de donner une plateforme d'expression à des promoteurs, et de continuer de faire travailler graphistes, techniciens, communicants, médias et tout le reste de notre écosystème… »   Marie Rouge C’est ainsi que la valeureuse institution conçue par Manuelle Gautrand a programmé huit événements dans sa grande salle, à zieuter gratuitement en streaming. Parmi eux, la joyeuse bande de La Mamie’s, qui, après avoir écumé tous les clubs et caves de la capitale dans le monde d’avant, secoue la Gaîté lyrique avec une performance follement récréative. Éga

Le street artiste Dugudus célèbre les 150 ans de la Commune avec une expo en plein air

Le street artiste Dugudus célèbre les 150 ans de la Commune avec une expo en plein air

La ville de Paris sort sa machine à remonter le temps et célèbre le 150e anniversaire de la Commune. Pour l’occasion, le graphiste et street artiste Régis Léger, alias Dugudus, dévoile une exposition itinérante qui met un coup de projo sur 50 figures phares de la Commune. Louise Michel, Gustave Courbet, Arthur Rimbaud ou encore Jules Vallès, fondateur du journal Le cri du peuple… Tous ces personnages connus sont réunis jusqu’au 18 avril sur les grilles de l’Hôtel de Ville, aux côtés d’anonymes, avant de vadrouiller successivement à la Gare de l'Est et aux Buttes Chaumont. En tout, ils seront exposés 72 jours, soit la durée d'existence de cette période insurrectionnelle, au cœur du printemps 1871. La grande originalité de cette expo, "Nous, la Commune"? C’est d’abord d’avoir imprimé les 50 personnages en taille réelle, avant de les plaquer sur du dibond, une structure en métal adaptée à une exposition en plein air. Mais aussi d’avoir fait un gros travail d’iconographie, pour rendre les costumes les plus réalistes possibles.  "Il y a eu la phase de création mais aussi une importante phase de recherches historiques qui a pris du temps”. Pour preuve, le bonhomme a bossé avec de nombreuses pointures, notamment le doctorant en Histoire du droit Hugo Rousselle. A travers ces personnages emblématiques, c’est tout un pan de l’histoire dans lequel vous allez bourlinguer. Car si la capitale rebelle a voté de nombreuses mesures à l’accent utopique, elle a aussi sous la Commune été un poi

Trois artistes techno débarquent à l’Atelier des lumières le temps d’un show immersif

Trois artistes techno débarquent à l’Atelier des lumières le temps d’un show immersif

Alors que cette année fouette toujours autant la gadoue pour le monde de la culture, l’Atelier des Lumières, le maousse établissement de 3 300 m2 planqué en plein 11e arrondissement, a décidé de reprendre vie avec une superbe programmation électronique. Aux manettes ? Le joyeux duo Electronic Subculture et Mixmag qui, après avoir rallumé Les Bassins de Lumières en janvier dernier, pousse le fader un peu plus loin avec un nouvel événement d’exception. Le temps de trois soirées, les 5, 6 et 7 avril, un triptyque des plus gros artistes techno se retrouvent sous le feu des (140) projecteurs (laser) pour une création à la fois sonore et visuelle. Le tout à zieuter en direct sur l’événement Facebook — ou sur la page FB de Time Out Paris, partenaire officiel de l’événement. Les plus grosses pointures de la techno Leurs p’tits noms ? Buvez une gorgée d’eau et accrochez-vous. Ellen Allien, la célèbre Berlinoise fondatrice du label BPitch Control, viendra mixer un set dans l’ancienne fonderie, nappée pour l’occasion par les vidéos futuristes du studio turc Nohlab. Le chauve et stoïque Recondite, producteur allemand bien connu à Paris, viendra balancer un live minimal et mystique pendant que le lieu s'animera des créations oniriques et architecturales d'Antoni Gaudí. Également aux platines ? DJ Deep, célèbre résident du Rex Club, balancera ses pépites house sur l’univers tourmenté de Van Gogh, dont les œuvres numériques (coulures, vagues bleues, champs de blé…) draperont les différentes